Saren Pearce
   37 ans ◘ Braqueur ◘ Sam Worthington
   Il dit que t’es en forme et que t’y mets les formes, c’est lui qui est en forme pour avoir compris ça !
   

   CRIME IS IN MY BLOOD ◘ Célibataire
   Américain ◘ Las Vegas, Nevada ◘ Hétéro

Sans pitié : Voilà une chose qui ne vous échappera pas quand vous croiserez la route de Saren, surtout si vous êtes flic. Quoi que les otages aussi s'en rendront rapidement compte. Saren ne fait pas dans la dentelle, le supplier se sert à rien. La pitié et une notion subjective pour lui, ça ne sert à rien et c'est bon pour les faibles.

Sans foi, ni loi : Il ne croit en rien. La religion ce n'est pas pour lui c'est encore quelque chose pour les faibles ou une excuse pour ce faire la guerre. L'existence d'un dieu ayant tout crée lui semble absurde, il est beaucoup plus terre-à-terre à croire que ce qu'il voit. La seule chose en ce qu'il croit c'est lui et ses armes. Quant à la loi, il s'en fout pas mal, en même temps pour être un braqueur ça n'a rien d'étonnant.

Violent : Saren n'est pas le genre d'homme à être doux comme un agneau. Mieux vaut ne pas lui marcher sur les pieds si vous ne voulez pas que votre tête se retrouve en bouilli sur le sol. Cogner ça ne lui fait pas peur, il aime ça, ça le défoule et ça le détend.

Intelligent : Notre homme est peut-être une brute, mais ce n'est pas pour autant qu'il est bête. Sous cette couche de violence se trouve une personne intelligente et réfléchie. Il fait tout pour ne rien laisser au hasard et prévoit chaque coup à l'avance en faisant son possible pour avoir au minimum trois coups d'avances.

Ambitieux : Comme si ce n'était pas suffisant, il repousse toujours les limites. Il veut toujours s'attaquer à plus gros, à plus dangereux. Son ambition est dangereuse, mais elle le caractérise plutôt bien.

Autoritaire : Étant un ancien soldat, il a connu l'autorité. A présent c'est lui le chef, le groupe de braqueur et sous ses ordres et autant dire que l'écouter est sage. Saren n'est pas un monstre, mais quand on parle d'un braquage ses ordres doivent être écoutés à la lettre.

Joueur : Lancer des défis est une très mauvaise idée. C'est un homme très joueur et il se fera toujours un plaisir d'y aller jusqu'au bout. Il aime les jeux et par dessus tout il aime gagner. Perdre le fait entrer dans une rage folle. En général, ça fini en bagarre.

Mystérieux : Il est assez difficile de tout connaitre de lui. On peut connaitre son passé, mais il est rare de savoir ce qu'il pense. C'est encore pire quand il s'agit de ses sentiments. C'est une sorte d'armoire dont la porte reste verrouillée, comme si son cœur était une sorte de pierre qu'il est impossible de briser.

Sociable et charismatique : Malgré les défauts qu'il a, c'est un mec sociable. Il a un charisme qui attire les gens vers lui comme si c'était un aimant. Personne ne soupçonne que c'est un mec dangereux. Il a plus l'air d'un gros nounours. Oui, il est sympa mais c'est aussi une sorte de couverture pour ne pas être démasqué.
   

  Techniquement ce sont des professionnels, des professionnels qui ne reculent devant rien...
 

 
"Tu la fermes et tu t'allonges sur le sol. Allonge-toi ! Putain d'enfoiré tu vas t'allonger sur le sol, merde !" s'écria l'homme masqué avant de donner un coup de crosse de sa mitraillette en plein sur le visage du mec de la sécurité récalcitrant. L'homme tomba au sol en tenant son visage, il venait de comprendre que le braqueur en face de lui n'avait pas l'intention de rigoler. Il pensait peut-être que l'intimidation pourrait le faire reculer, mais non ce genre de choses n'a aucun effet sur Saren. "Les gars, on en est où avec le coffre ?" s'écria-t-il à travers son talkie-walkie pour avoir un contact avec le reste de son équipe. Son petit génie de la technologie était déjà devant le coffre avec sa perceuse thermique à forêt la porte blindé pour récupérer le magot. Lui avec trois autres membres du groupe se tenait dans le grand hall à surveiller les otages. C'était une grande banque, le genre d'endroit où pas mal d'argent passe et ou on en ressort plein les poches quand on vient la braquer. Bien sûr pour ce faire, il faut être préparé comme pour une opération militaire. Ça tombe bien, notre groupe ne laisse rien aux hasards. Ce braquage est en préparation depuis de long mois. Pour être parfait et que tout soit réglé comme du papier à musique, il faut venir souvent pour voir quel type de caméra il y a, le genre de système d'alarme, le nombre d'agent de sécurité et d'employé, les horaires de chacun... Tout ça est une organisation très précise digne des plus grandes agences gouvernemental du pays.

Avant de devenir un tel malfrat, Saren faisait partie des Navy Seal. C'est difficile de dire pourquoi il a choisi les Seal, il faut croire qu'il a toujours aimé le danger et que la renommée des Seal indiquait qu'il allait en chier et c'était ce qu'il voulait. La formation la plus dur du monde ou presque. C'était l'un des meilleurs éléments de l'US Navy enfin, il l'aurait été s'il ne faisait pas souvent de l'insubordination. Combien de fois a-t-il foncé avant d'attendre le feu vert. La patience ce n'est pas tellement son truc. Malgré tout, il faisait son boulot : sauver des vies. Vous croyez qu'on l'a remercié pour ça ? Non ! Le pauvre a été viré pour avoir torturé un terroriste afin d'avoir des informations. Oh, il aurait fini par être torturé, mais le groupe n'en avait pas reçu l'ordre et Saren n'était pas un tortionnaire. Si on ajoute les nombreuses autres fois ou il n'a écouté, ça a suffi pour qu'on le jette dehors. Autant dire que ça c'est plutôt mal passé et qu'il s'est même battu avec son supérieur. Bref, il a été jeté comme un malpropre. Les choses sont devenues clair pour lui, le monde est pourri à quoi bon se battre pour lui. Il s'est remis à trainer avec d'ancien pote assez peu fréquentable. Et un jour, il s'est dit qu'il devait se trouver de l'argent et commencer à vivre sa vie comme il l'entend. Avec d'ancien pote militaire, ils décident de former une bande de braqueur. Au total, ils sont six. Lui n'est autre que le cerveau du groupe, il commande tout. Ensuite, il a son bras droit sur qui il peut compter, son ingénieur qui est là pour trouver comment ouvrir les coffres, le petit génie qui lui se charge des systèmes de sécurité, le roi de l'évasion qui prévoit plusieurs plans de sortie et enfin le roi de l'explosif qui est en réalité un expert au niveau des armes. Pour six ex-militaires, s'en prendre à une banque ça ne change pas beaucoup d'être sur le terrain au beau milieu d'une guerre. Les flics ne sont pas autant entrainés qu'eux. Le seul problème qu'ils peuvent rencontrer c'est le SWAT, encore faut-il que l'alarme se soit déclenché ou que quelqu'un appel la police pour prévenir du braquage.

"Les gars, la compagnie arrive. Vous avez cinq minutes pour remplir les sacs." Un client avait certainement réussit à passer un appel à la police. Ceci ne fera que les ralentir et si Saren et son équipe doivent tuer des otages pour partir, ce n'est pas un problème. La pitié ne fait pas partie de leur vocabulaire. D'ailleurs, quand une première vague de flic se sent pousser des ailes pour intervenir, les braqueurs ne tardent pas à riposter et tuer un flic. "C'est l'heure de partir !" La fuite se fait plutôt remarquer. La banque en question avait une sorte de garage ou les convoyeurs de fond gare leur camion pour prendre ou déposer l'argent. Sauf que là, le garage sert uniquement pour le véhicule des voleurs. La porte est défoncée et le camion démonte grâce aux pare-buffle les voitures de police qui gêne. La course poursuite aurait pu avoir lieu, mais un changement de véhicule dans un endroit fermé et hop le groupe est à présent invisible. Les gars continuent leur route avec un tas de pognons dans les poches et c'est loin d'être fini, braquer des banques c'est devenu comme une drogue pour eux.

Saren en plus d'être un braqueur est également le patron d'une boite de nuit. En fait, c'est un endroit qui sert de planque au groupe. Ils y cachent les armes et même l'argent. En ayant l'air d'un chef d'entreprise honnête avec ses associés, ça leur offre une belle couverture et personne ne les soupçonne.




 

Nono
  behind the screen
 C'est encore moi :D