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| (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. | |
| Auteur | Message |
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Calliope White ❖ AGE : +/- 20 ans ❖ STATUT : Célibataire ❖ AVATAR : Lili Simmons ❖ MESSAGES : 54 ❖ NEW YORKAIS DEPUIS : 06/06/2014 ❖ POINTS : 19
| Sujet: (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. Ven 6 Juin - 19:28 | |
| Calliope White 20 ans, à peu près ◘ itinérante, femme libre ◘ Lili Simmons ON A FRÔLÉ LA VIE.
Citoyenne ◘ Trois fois rien D'Irlande et d'Amérique, d'ici et là-bas ◘ Non communiqué ◘ Non déterminéCeci est un abject copié-collé : Requiem for a dream.Vous vous réveillez. Comme chaque jour. Vous appréciez le souffle d’air qui transpire au travers de la fenêtre qui donne sur la liberté. Doucement, vos gestes mécaniques s’emparent de votre corps, et comme l’automate que vous êtes, vous passez exactement une minute à vous lever, l’horloge tourne et le tic-tac emplit votre tête. Restes maladifs d’une monotonie habituelle. Vous ouvrez votre placard, choisissez une tenue du bout des doigts, mais vous savez que de toute manière, le monde vous attend et n’en a que faire de votre tête parfaite et de vos vêtements scintillants. Le déluge n’est pas prêt d’arriver, vous avez le temps. Le temps de profiter, aujourd’hui encore, des bruits, des odeurs, des saveurs, des anonymes, des arc-en-ciel qui s’forment dans le bitume. Vous, vous savez la chance que vous avez. Peu de gens le savent, peu de gens connaissent le Bonheur, la Liberté. Vous les approchez souvent, vous, les autres ne font que les contempler, de loin. Et ils passent leur chemin. Ils passent à côté de leur propre histoire. Vous sortez enfin de la chambre, du couloir, de l’hôtel. La vie sous vos pieds, sous vos yeux, sous vos doigts. Alors vous y allez, vous redécouvrez une terre qui change chaque jour, des humeurs de voisins, vous chantez Hakuna Matata à la vue du moindre phacochère. Les murs blancs tremblent, les murs souillés d’art resplendissent, le soleil s’amuse dans vos cheveux et pour fêter cette nouvelle journée, vous vous dirigez vers la plage. Peu importe, au fond, ce que vous y trouverez vous conviendra. C’est ainsi. Les palettes de couleurs sur les rochers, le miroir kaléidoscopique sur la surface plane de l’océan, des résidus de soirées arrosées, le calme enivrant d’une plage encore figée dans l’inertie nocturne. Qui sait, peut-être y trouverez-vous le Bonheur. Il est un peu partout, après tout. Il suffit de le voir. D’aller à sa rencontre. De prendre son courage et d’en faire quelque chose de beau. Le courage, il vous a manqué une bonne partie de votre vie, il vous a empêché de poser les questions qui brûlaient vos lèvres. Sans courage, sans autonomie diront certains, sans l'audace, sans rien. Juste vous, et votre conscience de coquille vide. Vous avez baissé la tête trop souvent pour regarder le bout de vos chaussures, ou des leurs, et puis un jour après dix-huit ans de tâtonnements, vous avez trouvé la serrure, la poignée, vous avez enfin ouvert vos yeux fermés et vos poumons comprimé. Inspiration. Il ne reste plus qu'à trouver le nœud qui bâillonne vos sentiments. Vous rattachez vos cheveux inconsciemment, vous frémissez sous le vent frais venu de par-delà les océans, vous vous enivrez à l’air iodé, vous succombez à l’appel de la mer. En quelques instants, ce sont vos pieds, qui après avoir laissé toute une nuée de traces dans le sable décoloré, qui prennent l’eau. Comme leurs plans. Ces plans qu’ils avaient pour vous. Ils n’ont pas compris qu’ils ne vous contrôlaient pas. Ils s’en mordent les doigts. Vous souriez au vent, au rien qui emporte votre avenir et qui apporte tant d’espoirs. Marchez encore quelques pas, vous serez surpris par les inepties, l’ingénue sur sa planche, le lion qui vous observe, les personnes qui vous attendent, même si elles ne le savent pas encore. Arrêtez vos pensées préfabriquées, et venez. Hors des sentiers battus, vous le retrouverez, le Bonheur. Promenez-vous, ici, vous ne croiserez pas grand monde. L’Inconnu et le Bonheur. La Liberté et la Patience. Parce qu’il y a encore plein de choses, à trouver, à rencontrer, et que vous ne les connaissez pas. Vous n’avez pas pu. Il serait temps pour vous de vous réveiller. Vous rêvez souvent. Vous rêvez toujours. Chaque nuit ou presque. C'était votre seul échappatoire, votre unique moyen d'expression, votre seule palette de couleurs. Sérieusement, ce fut dix-huit ans remplis de vide, remplis de blanc, remplis de questions et d'ignorance. Vous n'avez rien eu pour comparer, rien d'autre que les images et les mots dans les livres. Personne ne vous a éduqué aux sentiments, ils ont juste oublié. Ils vous ont observé, comme le patient 0, celui qui a le cœur pur et pas de mauvaises intentions - parce qu'après tout, vous n'avez pas d'intentions, pas vrai ? Pas de notion du bien, du mal. Rien, si ce n'est que deux trois Disney dans votre enfance, bonjour la culture. Alors vous êtes partis, construire sur du rien, vous verrez bien ce que vous y trouverez. On vous a lancé dans le monde avec vos rêves, vous devez bien être la dernière personne sur cette foutue terre qui en a encore. Pas un geste déplacé, pas un geste tendre. Jamais. Pas encore. Vous apprendrez sur le tas.
Dernière édition par Calliope White le Sam 7 Juin - 13:09, édité 2 fois |
| | Calliope White ❖ AGE : +/- 20 ans ❖ STATUT : Célibataire ❖ AVATAR : Lili Simmons ❖ MESSAGES : 54 ❖ NEW YORKAIS DEPUIS : 06/06/2014 ❖ POINTS : 19
| Sujet: Re: (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. Ven 6 Juin - 19:29 | |
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PAS DE PEUR, PAS D’AFFOLEMENT, ET LA FACULTÉ D’IGNORER TOTALEMENT CE QUI EST SANS IMPORTANCE
Ceci est toujours un abject copié-collé : C’est l’implosion des sentiments qui me brûlent, c’est l’explosion du rien dans mes larmes de joie qui se frayent un chemin jusqu’à leur chute, au coin de mon menton. Cela fait longtemps, je les savoure ces perles salées, deux ou trois tout au plus, avant que mes canaux lacrymaux se tarissent eux aussi. Interruption de ma maîtrise de moi-même, de ma place de spectateur dans ce monde, pour faire une brève apparition, une preuve de vie et de sentiments, pour faire taire les médisants. Liberté. Enfin, pour la toute première fois de ma vie, je suis libre de faire ce que je veux. De vivre ma vie, si cela a un quelconque sens. Mais, au-delà de ça, je peux enfin confronter mes théories au terrain. Explorer le monde extérieur, confirmer mes soupçons. Car j’ai eu du temps pour penser, pour décrypter le monde, notre monde. J’en ai eu du temps. Le temps. Et un jour, mourir.Mourir signifierait donc que je suis en vie. CQFD. Pensez-vous qu’une vie peut se baser sur une théorie bancale ? Plus ou moins. Car je joue à être, à défaut d’exister. J’ai longtemps joué ce jeu, pour que quelques politiciens, psychologues et autres philosophes puissent jouer aussi. Ils m’ont beaucoup appris. A me méfier d’eux, tout d’abord. Puis, à comprendre ces choses du monde que je ne pouvais ni voir, ni comprendre. Pour une raison qui m’échappe encore, ils m’ont faite prisonnière de leur hôpital, figure de proue d’un établissement à la dérive. Avec leurs grands mots. Cette étiquette qu’ils m’ont refourguée presque depuis la minute où je suis née : autiste. Ahah. Oui. Mais le « bon » autisme, de celui qui engendre les génies prisonniers de leurs corps. Mais n’empêche que ça rebute les gens, ce mot. Ce grand mot. Cette petite étiquette, ces quelques lettres emportées par le vent, bien vite, et qui fait ouvrir les yeux et fermer les bouches. Oh. Mademoiselle est autiste, mademoiselle est une incapable. Assez capable tout de même pour déchiffrer les comportements des malades mentaux. Oh. Encore des grands mots. Pourtant ils n’ont rien demandé, eux non plus, ce sont des lettres, toujours les mêmes, elles ne sont qu’une vingtaine, et parfois, arbitrairement, on décide d’aimer certaines et de ne pas aimer d’autres. Elles font peur, ces lettres. Mais ils n’ont toujours pas compris que certains d’entre nous ont décidé de faire des mots à eux, de parler leur langage à eux ? C’est là que j’intervenais. Pour essayer de déchiffrer les nouveaux, pour qu’on puisse leur donner les bonnes pilules. Mais surtout, pour que je puisse soulager ceux qui ont peur. La peur, la maladie du siècle – et pourtant, elle a toujours existé. Même avec mon « ton placide et déprimant à toute épreuve » – et oui, je t’ai entendu, Dr Parker. J’emportais leurs secrets poudrés. Je les porterai toujours, tant que mon cœur bat. Prends-en, tu verras, ce n’est pas lourd. Quelques maux, des idées qui crèvent avant d’avoir eu le temps de se former, une résignation et des murs, beaucoup de murs qu’il faut contourner. Un chemin étroit entre le gouffre et la falaise d’un monde aux idées conformistes, d’un monde sourd et aveugle aux différences qui font délier les langues et qui jouent avec leurs clichés de monde parfait. Mais qu’en savent-ils ? Tout cela n’est que suppositions. Suppositions. Voilà toute ma vie. Toute la raison du monde, et un manque émotionnel en contrepartie. Peut-être qu’au fond, je ne suis qu’un robot. Et aujourd’hui, je vais enfin avoir l’occasion de la vivre. Je suis majeure et j’ai passé tous les tests d’aptitude avec brio. Donc, je pars. Et loin, de préférence, rien ne me retient ici. J’vais aller vivre ce que j’ai lu. Vivre ce que j’ai imaginé. Vivre ce que j’ai rêvé. Et puis après, on verra.Comme mon père, le docteur White, m’a avoué que des personnes m’attendaient, à l’extérieur. Des gens. Quelqu’un. Une mère, un demi-frère. Il était temps pour moi d’en apprendre l’existence, de détruire ces mensonges qu’il m’avait racontés. Il m’a laissé m’envoler – déstabilisée. J’ai pu ajouter le Dégoût ce jour-là, dans mon carnet de relations. Et puis l’Espoir. La pluie, le vent, les sentir rouler sur mon visage. Les poussières d’étoiles, les voir dans les yeux de quelqu’un. Les poussières de vie, les brins d’hommes qui se dressent contre la nature. Tout ça. Le souffle de l’univers, les couleurs de l’eau, les tons de la vie. L’envie et le désir ne sont rien en moi. Rien qu’une certitude : j’aimerais les connaître. La seule chose que je veux, c’est vouloir. C’est réaliser. C’est briller. Et vivre, enfin. Vivre sans leurs chaînes blanches, vivre sans appréhensions, sans peurs, sans devoirs. Ma laisser happer par le destin, le laisser me surprendre. Le laisser me guider, m’éblouir, me perdre avec les autres, de cette culture de différence ne ressort que l’évidence : notre ressemblance. Tous humains, tous différents ? Laissez-moi rire. Laissez-moi une chance. Au terme de ces deux ans, je peux enfin dire qui je suis. Calliope. Une fille qui n’avait jamais entendu son prénom, pensant très souvent qu’elle s’appelait « Elle ». Elle fait ci, Elle ne fais pas ça. Ta fille, Elle, je pensais que. Celle que l’on appelait la fille du docteur White. Mais je n’avais pas vraiment de père. Tout ce que je voyais, je l’ai vécu à présent. Je n’étais qu’une coquille qui vivait par procuration dans le monde des autres. J’ai vu le noir, j’ai vu le blanc, j’aime les couleurs et je peux dire que j’aime le bleu, le bleu turquoise qui tire sur le vert dans les eaux chaudes tropicales. La chaleur. C’était tout nouveau. Les rires aussi. Dans mon monde aseptisé, il n’y avait pas de rires. Ils étaient jaunes ou nerveux. Et puis chaque jour, je confirmais cette soif d’apprendre au creux de mon corps. Chaque jour, je me maudissais d’être restée dix-huit ans, immobile. Inerte. Quand tant de choses me paraissent aussi heureuses et douces et intéressantes. Et donc, j’ai échoué.Au pied de Jeffreys Bay, un coin d’Afrique du Sud. Pour le retrouver. Ce frère. Cet inconnu. Son évocation est restée comme une évidence. Je me devais de le retrouver, tôt ou tard. J'ai profité d'un monde qui m'ouvrait ses portes. Je voulais juste avoir une ancre maintenant. Quelque part. Savoir que quelqu'un était de mon sang, sur cette Terre. Quelqu'un qui pourrait m'apprendre ce que c'est, une famille. Plus ou moins. Sauf que je n'y trouvais rien de plus qu'un peu de couleur ocre, et des questions. D'autres questions. Je fis un pacte, le lendemain où mon hôtel fut détruit par une tornade. Celui d'arrêter. D'arrêter de le chercher, et de l'oublier. Ce fut un pacte entre un poisson de la Kromriver et moi. Mère Nature comme témoin. Et comme l'hôtel allait partir à New-York, je décidais de le suivre. Au moins, là-bas, il y avait des gens qui me connaissaient, des amis qui m'attendaient. - Le pacte :
Je suivais des yeux un poisson, depuis tellement longtemps que j’en avais perdu la notion du temps. Il avait des reflets arc-en-ciel, et une idée bien précise en tête. Un truc en rapport avec le rocher juste sous lui, qu’il inspectait rigoureusement depuis que je l’avais sous les yeux. C’était comme si le reste du monde n’avait aucune influence sur lui, comme si l’eau ne l’affectait pas, comme s’il était seul au monde. Seul au monde … ça donne à réfléchir. Justement. En tailleur sur un rocher humide, le rivage était à quelques mètres. Le fond de la rivière était peu profond jusqu’à moi, ce qui expliquait que le rocher, au milieu de la rivière, était humide, mais pour le reste, j’étais venue à pied, l’eau m’atteignant presque les genoux au plus profond du chemin que j’avais emprunté. L’endroit devait être un bon spot pour les familles avec enfants, vu la profondeur et le calme de la rivière, la rive était assez aménagée, au bout d’un chemin lui aussi plutôt bien indiqué, derrière un restaurant. Mais pour le moment, il n’y avait pas un chat à l’horizon. Juste moi, le chant des oiseaux et les poissons qui occupaient mes yeux. Quant à mes pensées … Dans un film, j’aurais retrouvé mon frère en une heure vingt. Les semaines commençaient à défiler. Et je n’avançais pas. J’étais pas plus fière que ce poisson, à la recherche d’une vérité sur un caillou. Et si la vérité était sur le caillou d’à côté ? Comment le saurai-je ? Je tournais en rond.
Il fallait que ça cesse.
Qui jouait avec moi, ici ? Le rien, le temps, les fantômes ? Les mots qui crevaient à cause de ma rage, mon excitation, mon impatience. A vouloir aller trop vite, j’avais peut-être omis quelques pièces de mon énigme. De ma quête. J’avais tourné le dos à un père distant pour me rapprocher d’un frère inexistant. Et même ainsi, j’avais l’impression d’être toujours sous sa surveillance, d’être la pièce de son jeu – la seule nouveauté, ce sont les couleurs, les sons, les graphismes … mais comment pouvais-je être sûre d’avoir quitté l’échiquier ? En arrêtant de jouer.
Je plongeais ma main dans l’eau, me penchant dangereusement en avant. J’effleurais les écailles du poisson méfiant, attrapais sa pierre. Je prends ta pierre, ton obsession, tu prends la mienne. La pierre qui m’entraîne, la pierre qui m’attache à un présent déjà passé. Je ne l’avais pas trouvé en le cherchant, qui sait, je le trouverais peut-être en essayant de l’éviter. Et bientôt, je partirai. Rien ne me retenait plus ici. Et j’arrêterais de perdre mon temps en tournant en rond, sur la foi de quelques paroles prononcées il y a deux ans.
pseudo behind the screenJimisuisfaitagressééééééééééééééée !
Dernière édition par Calliope White le Sam 7 Juin - 13:09, édité 2 fois |
| | Gabriel Caulfield Admin ⊹ I'm here for you anytime ❖ AGE : 37 ❖ STATUT : célibataire, encore marié xD ❖ AVATAR : daniel gillies ❖ MESSAGES : 58 ❖ NEW YORKAIS DEPUIS : 01/06/2014 ❖ POINTS : 18
| Sujet: Re: (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. Ven 6 Juin - 19:46 | |
| GENRE xD
rebienvenue ma puceeeeeeeeeeeeeeee <3 |
| | Calliope White ❖ AGE : +/- 20 ans ❖ STATUT : Célibataire ❖ AVATAR : Lili Simmons ❖ MESSAGES : 54 ❖ NEW YORKAIS DEPUIS : 06/06/2014 ❖ POINTS : 19
| | | Tobias Lamb ❖ AGE : 41 ans ❖ STATUT : Veuf ❖ AVATAR : Karl Urban ❖ MESSAGES : 70 ❖ NEW YORKAIS DEPUIS : 03/06/2014 ❖ POINTS : 21
| Sujet: Re: (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. Ven 6 Juin - 20:01 | |
| Re bienvenue parmi nous :D |
| | Calliope White ❖ AGE : +/- 20 ans ❖ STATUT : Célibataire ❖ AVATAR : Lili Simmons ❖ MESSAGES : 54 ❖ NEW YORKAIS DEPUIS : 06/06/2014 ❖ POINTS : 19
| Sujet: Re: (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. Sam 7 Juin - 12:53 | |
| Merci ! Faudra qu'on se retrouve un lien ! *a fait son deuil de Thane * |
| | | Sujet: Re: (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. Sam 7 Juin - 13:36 | |
| bienvenue sur WSTW tu es validé c'est parti !Et voilà, t'as réussi, t'as fini ta fiche. A présent que t'es validé, c'est parti pour organiser tout ça. Pour bien démarrer sur le fo suis ces petites indications et hop. Déjà, pour être pleinement validé, rempli ton profil entièrement et recense toi, ainsi que ton métier puis ton statut, et enfin ton compte. Ensuite n’hésite pas à te créer un téléphone. Pour te lier aux autres, il te faudra poster ta fiche de liens.. Si tu veux des amis/amants/voisins/le facteur/, n'hésite pas à poster ce que tu souhaites ici. Tu auras le choix avec trois modes de scenarios. Pense à jeter un oeil aux points, afin de savoir comment cela fonctionne, par ici. Et bien sur pour que notre petit forum grandisse n'hésite pas à faire de la pub pour nous ♥ (en plus tu gagnes des points !). Tu as tout fait ? Alors vas y fonce, et amuse toi ! |
| | Calliope White ❖ AGE : +/- 20 ans ❖ STATUT : Célibataire ❖ AVATAR : Lili Simmons ❖ MESSAGES : 54 ❖ NEW YORKAIS DEPUIS : 06/06/2014 ❖ POINTS : 19
| Sujet: Re: (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. Sam 7 Juin - 13:55 | |
| Awwwwwwwwwww Merci ! |
| | | Sujet: Re: (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. | |
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| | | (Lili Simmons) Had no exposure to the world outside. | |
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