Aleksi Olrik Folker
32 ans ◘ officier du NYPD ESU ◘ joel kinnaman
being nice to people is just like smoking. It's the best if you never start it.


autorities ◘ célibataire
suédois/iranien ◘ stockholm ◘ hétérosexuel

C'est un type droit, intègre, loyal... Il est l'archétype même de l'homme pour qui sa vie est son travail. Il aime son job et rechigne les jours de congés. • Protecteur, discipliné il a cependant le sang chaud et part vite au quart de tour. C'est un impulsif de nature, plutôt borné qui n'aime pas ne pas réussir à obtenir ce qu'il souhaite avoir. • Franc, il a tendance à dire ce qu'il pense sans se soucier des conséquences. Ce côté rustre n'est pas toujours apprécié de tous. • Peu ouvert, il ne parle pas facilement de lui s'il a des problèmes. • Ex-toxico, il a longtemps pris de la drogue étant plus jeune avant d'entrer dans la police. Il a réussit petit à petit à quitter la drogue en se contentant de simple nicotine. Il fumé un à deux paquets par jour quand il lui arrive d'être tenté par un joint. • De part ses origines il parle très bien le suédois, même s'il n'est pas resté longtemps dans son pays d'origine. Il jure énormément en suédois, étonnamment les insultes passent mieux quand on ne comprend pas ce qu'elles veulent dire. • Même s'il semble très solitaire, il possède des liens forts avec les autres membres de son escouade. Il a d'ailleurs peu d'amis qui ne travaillent pas dans la police (passant son temps au travail...) • C'est un casse-cou, il a souvent séjourné à l'hôpital pour diverses fractures. Il a déjà été admis deux fois pour avoir pris une balle. • Il est le fils illégitime d'un diplomate iranien. Bakhtiari. Il lui en veut toujours d'avoir laissé tomber sa mère et de n'avoir été capable que de leur filer du fric. • Il sait qu'il possède surement un demi-frère ou une demi-sœur mais n'a jamais cherché à entrer en contact. • Proche de sa mère restée en Suède, il lui envoie souvent des cartes postales. • Il a toujours été un fan de hockey sur glace et ne rate un match pour rien au monde (à part son boulot peut-être). Il faisait du hockey étant gamin à Stockholm. • Il lui arrive de lancer des paris en début d'intervention, que ce soit qui arrivera le premier, qui se fera toucher ou que diront les autres officiers qu'ils ont aidés. D'autres défis stupides sont lancés pendant leurs entraînements. • Personne ne sait vraiment pourquoi il a choisis les forces spéciales, ni pourquoi il a intégré le ESU (New York City Police Department Emergency Service Unit = SWAT de NY) Il semble qu'il aurait choisit ce département part manque d'égard que les gens ont pour eux.

« At Your Service... Anything, Anytime, Anywhere! »


Né à Stockholm en Suède, Aleksi est élevé par sa mère. Ils ne vivent de pas grand chose, sa mère subsistant à leurs besoins tant bien que mal en jonglant avec deux petits boulots. Elle était serveuse dans un petit restaurant en bord de route et femme de ménage dans le petit motel du coin. Ils vivaient dans un petit appartement à quelques pâtés de maisons de là. Aleksi a passé la plus grande partie de son enfance là-bas, il était un enfant plutôt tranquille et obéissant avec sa mère, bien qu'à l'école il se montrait impulsif et bagarreur. Il n'appréciait pas qu'il puisse y avoir des brutes de services à qui l'on cédait tout. Il faisait déjà régner la loi, petit héros de son école bien que souvent réprimandé pour ses solutions radicales et agressives face à ses adversaires. Ce n'est que plus tard vers ses 15 ans qu'il commence à vouloir connaitre son père, cet éternel absent. Il avait toujours accepté le fait qu'il ne vive qu'avec sa mère, mais avait toujours voulu savoir au fond de lui, qui était son géniteur. Sa mère évita le sujet de nombreuses fois avant de finalement céder. Elle décrivit brièvement sa rencontre avec cet homme, qu'elle rencontra alors dans le motel où elle travaillait. Il se souvenait de l'avoir vue sourire lorsqu'elle raconta qu'elle était entrée par erreur dans la chambre de cet homme, la pensant vide. Pour le reste, ce n'avait été qu'une petite aventure, le temps de son séjour à Stockholm. Lorsqu'il repartit, elle ne le revit jamais. Aleksi avait bien sentit que sa mère avait toujours été éprise de cet homme depuis ce jour. Elle lui raconta qu'elle n'avait jamais su qui il était avant de tomber sur un article dans un journal, reconnaissant son amant sur la photo. Il s'appelait Bakhtiari, un diplomate iranien.

Alek passa beaucoup de temps à chercher son paternel, avant de finalement trouver une trace de lui aux états-unis. Il avait 17 ans à peine et prit l'avion avec sa mère pour le retrouver. Il avait du faire des pieds et des mains pour convaincre sa mère de venir. Cet homme devait savoir que cette femme l'aimait toujours, plus encore qu'ils avaient un fils. Aleksi se trouvait être bien naïf à cette époque. Il n'imaginait pas que cet homme quitte sa vie bien confortable pour vivre avec sa mère et lui. Il voulait juste que cet homme sache et que, peut-être, il puisse garder un contact avec sa mère. Il était très loin de douter que cet homme était marié et avait déjà une vie de famille bien remplie. Lorsqu'il le rencontra la première fois, il y alla seul. Sa mère, bien trop nerveuse avait préféré rester dans le taxi. Son supposé paternel osa à peine daigner lui parler. Lorsqu'Aleksi affirma qu'il était bel et bien son fils, que les dates de son séjour en suède confirmait avec sa rencontre avec la mère d'Alek, il nia tout en bloc. Lorsqu'il ramena le jeune garçon à l'extérieur, il lui somma de ne plus revenir le déranger, que quoi qu'il ai pu faire, tout ça était du passé.
Aleksi insista plusieurs jours pour faire entendre raison cet homme. Ce dernier finit par lui glisser une enveloppe emplie d'une somme onéreuse, lui disant que c'était la seule chose qu'il pouvait faire et que c'était ce que réclamait surement sa mère... comme toutes les autres ajouta-t-il. Aleksi lui jeta cet argent à la figure et finit par clamer haut et fort sa haine envers cet homme. Le simple fait de savoir que d'autres femmes étaient dans le même cas que sa mère, que d'autres enfants comme lui ne pouvaient connaitre leur père et surtout voir que son père était un escroc de ce genre, prêt à payer son fils pour son silence... Après cette dernière rencontre il ne tenta plus de le contacter, ni même de le revoir. Il s'en voulait terriblement d'avoir fait subit cela à sa mère et préféra même lui mentir au sujet de son amant. Elle sembla apprécier ce qu'avait fait son fils, bien qu'au fond de lui, il voyait bien qu'elle savait depuis longtemps qu'elle genre d'homme le père de son fils avait toujours été.

Sa mère retourna en Suède alors qu'Aleksi décida de commencer sa vie ici, à New-York. Il n'était pas majeure, n'allait plus à l'école et devait alors se trouver un boulot pour vivre. Ses débuts à la grosse pomme furent difficiles. Il trouva un petit boulot dans un garage miteux. Il y travaillera jusqu'à ses 20 ans, bricolant les voitures, cherchant après de la ferraille et goûtant aux vices de cette ville qui ne dort jamais. Il se droguait, au début pour essayer, puis pour passer le temps, puis par envie. Dépendant il laissait filer l'argent de sa maigre paye pour un peu d'herbe. C'est un flic qui le sauva de cette vie libertine et morbide. Sans cet homme il aurait surement été retrouvé tué d'une overdose dans une des rues sordides de la ville. Une victime de plus. Le lieutenant Avery était un brave type, un bon policier comme on en fait plus. Il a prit Aleksi sous son aile et l'a envoyé en cure de désintoxication. Même s'il fut difficile de convaincre le jeune suédois, avec sa patience et sa ténacité, le lieutenant réussit à le convaincre de se sortir de cette misère et d'enfin envisager les meilleures possibilités qu'offrait New-York à un jeune comme lui.

Aleksi entre alors dans la police, après s'être débarrassé de sa dépendance à la drogue et de son ancienne vie. Il termine l'école de police sans problème et se surprend lui-même à éprouver un certain plaisir de se sentir enrôlé dans une cause dite juste. Être un représentant de la loi dans cette ville qui ne dort jamais était une grande opportunité qu'il n'aurait jamais pu saisir sans l'aide du Lieutenant Avery. Son parcours dans la police restera plutôt simple, même s'il faisait partie des meilleurs de sa promo, il s'occupa beaucoup de la circulation puis des patrouilles diverses en ville. Il ne cherchait pas de grade particulier, ni d'une gloire quelconque. Une partie de sa paye partait en Suède chaque mois et chaque année une carte postale -toujours différente-était envoyée à sa mère. Il s'en était voulu de l'avoir laissée repartir sans lui, plus encore d'avoir été tombé bien bas durant ses premières années aux États-Unis. Il reste alors en contact avec elle, projetant même de partir quelques jours là-bas pour lui rendre visite.

Ce n'est que bien après son entrée à la police, qu'il décide de choisir une "spécialisation" et de suivre un entrainement afin de faire partir du SWAT de New-York (que l'on appelle là-bas le ESU). Il se souviens les avoir vu à l'oeuvre à maintes reprises et avoir croisés des escouades au quartier général. Ce sont des forces spéciales dont on ne parle que trop peu à son gout, il a tout de suite adhéré à cette idée du "à votre service... n'importe quoi, n'importe quand, n'importe où" (leur slogan) Il voyait le swat comme une équipe travaillant dans l'ombre et lui qui ne désirait pas être mis sur le devant de la scène, ça lui plaisait beaucoup. Bien sûr, il n'apprécie pas trop que ce soit toujours les inspecteurs de police qui récoltent toute la gloire d'une arrestation ou d'une prise d'otage. Tout le monde oublie que le swat est envoyé au casse-pipe et fait le plus gros du travail quand il consiste d'affronter des ennemis sur le terrain. Cela fait plusieurs années maintenant qu'il travaille avec le ESU, il fait partie d'une escouade de plusieurs hommes avec qui il s'entends très bien. Il les considèrent comme des membres de sa famille, ce sont ses frères (ou soeurs) qu'il protégera quoiqu'il advienne. Sur le terrain, ils ne font qu'un, pas de désaccord, ni de malentendus. Ils font partie de la meilleure équipe du ESU. Aleksi passe le plus clair de son temps là bas à son travail. Que ce soit pour s’entraîner, voir ses collègues, entretenir son équipement... Il apprécie de moitié ses jours de congé, ce doit être les seuls moments où il est vraiment chez lui ou qu'il profite de la ville. Il n'est heureux que lorsque son bipeur sonne et qu'il est temps de passer à l'action. Sa vie se résume à son job, ses collègues le tanne souvent à se sujet, trouvant qu'il ne sort pas assez ou qu'il est misanthrope. Ce qu'Aleksi ne se doute pas, c'est que beaucoup de choses risques d'arriver dans peu de temps et que son passé risque aussi de le rattraper.

Jackspirit
behind the screen
Je suis Jackspirit ou JS, Pauline pour véritable prénom. 23 ans, 24 à la fin de l'année (le temps passe), ça fait plus de 7/8 ans que je RP je crois et j'ai connu ce forum par Emma (Junkiie). Je le connaissais déjà avant qu'il ne ferme/rouvre.  

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