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Amethyst ET Kate Lawson, MEMBRES DU MOIS ! Bonne lecture et have fun <3
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 i need you you have no idea how much. + ruby

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Gabriel Caulfield
Gabriel Caulfield
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MessageSujet: i need you you have no idea how much. + ruby   i need you you have no idea how much. + ruby EmptyVen 6 Juin - 17:01


   
don't leave me alone please

Je regarde la fenêtre, je suis assis sur mon fauteuil. Je veux me lever, mais je suis exténué, en ayant fait que peu. Préparer la petite pour l’école, emmener en voiture, rentrer. Je sais que cette après-midi je vais devoir aller bosser quelques heures, tout ce que je peux faire pour le moment, au risque de tomber raide. Déjà le peu que je fais Jill hurle que je suis grave. Elle-même enceinte elle bossait, moi j’attends de me remettre d’une fichue opération qui m’a couté beaucoup. On est plus ensemble et elle continue de m’engueule, pas juste ça d’ailleurs. Je sais que Ruby va débarquer bientôt. Madame a décrété que je ne sortais pas assez et veut me promener. Je dois lui dire qu’elle risque de ne pas faire grand-chose. J’ai l’impression d’être un vieux truc moisi qu’on a fichu dans le placard  et qu’on a ressorti pour faire joli dans la déco. Je vais dans la salle de bain, ou plutôt je m’y traine tiens. Je pose mes mains sur le bord du lavabo et regarde un type au teint blanc, aux paupières lourdes, aux cernes. Faut dire que je ne dors pas très bien. Je passe mon doigt sur la cicatrice qui barre mon torse. Je ne suis pas mort, j’aurais peut-être du. Je me rase vite fait, je me douche, j’enfile une chemise blanche, un jean, et enfile mes baskets. J’ai presque le réflexe d’aller chercher ma blouse. Non, jsuis plus chirurgien. J’ai l’impression de ne plus avoir envie de rien. D’être totalement inutile. Même si personne dans ma famille ne veut en entendre parler, j’ai parlé de reprendre – avec des horaires plus légers – mon ancien job et dès que je suis « cleared » par le médecin, je pourrais peut-être y songer. On sone à la porte, je m’adosse au chambranle de la porte quand je l’ouvre, souris. « Tu sais que tu va sortir un vieux truc ? T’as pas peur de promener ton grand père ruby ? » Je sais qu’elle va me traiter d’idiot. Tout ce que je peux dire, c’est que ya bien qu’elle et Sarah qui me donne envie de bouger mes fesses.
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Ruby Barnes
Ruby Barnes

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MessageSujet: Re: i need you you have no idea how much. + ruby   i need you you have no idea how much. + ruby EmptyVen 13 Juin - 20:35

 
With you, 'till the end of the line.

Je raccroche mon téléphone, à contre-cœur. Annuler un voyage à l'autre bout du monde ? Pas mon genre, même pas du tout. Je ne décline jamais de telles offres. Mais ils devront se passer de mon expertise, et moi d'une semaine à Wellington. Je soupire, pénétrant dans la bouche de métro, positionnant mes écouteurs sur mes oreilles. Je me coupe du monde, m'abandonnant au rythme de la voix de Marvin Gaye. Je suis encore étonnée du curieux hasard qui a mené Gabriel à New-York, de ce jeu du destin qui nous a fait nous croiser dans la rue, comme ça, comme si rien n'avait changé. En un sourire, j'ai retrouvé le garçon d'autrefois, d'il y a presque dix ans. L'ami plus que le petit-ami, la présence rassurante, la fragilité de nos confidences. Tomber sur lui, dans une ville millionnaire, à une seconde près, un pas posé d'un côté plutôt que de l'autre, et apprendre la raison, difficile à encaisser,  de sa venue dans la Grosse Pomme ; ça m'avait pris au coeur, violemment, comme si c'était moi qui risquait de mourir d'un instant à l'autre, par un caprice de ce traitre de corps humain.
Je gravis les marches qui mène à son appartement, bien décidée à le sortir de chez lui, refusant qu'il se laisse aller au désespoir, qu'il trouve des excuses dans sa convalescence. Tout est dans la tête, j'en suis convaincue, pour qu'il récupère après cette fichue opération, il faut qu'il goûte au bonheur de vivre. Je veux revoir son sourire imprévisible, presque provocateur, celui qu'on ne croit pas trouver sur le visage d'un homme comme lui. Je veux revoir ses yeux pétiller, l'entendre rire pour des conneries. Je sonne, et répond à son accueil par un large sourire. Je roule des yeux. - Méfie-toi, ton optimisme débordant risque d'être contagieux. que je lance en riant, pressant une main sur son bras comme signe de bonjour, un geste simple, plus aisé à exécuter qu'un long discours. Un j'espère que ça va discret mais clair, qui ne laisse aucun doute quant à mon inquiétude. Mais une inquiétude que je ne veux pas exprimer à haute voix. Parce qu'au fond, je ne veux pas la rendre tangible, réelle. Je veux simplement m'assurer qu'il va bien, et qu'il ira mieux. C'est une chose sur laquelle je compte, et je ne vais pas le laisser se morfondre parce que la malchance l'a frappé. J'attrape sa veste sur le rebord du canapé et la lui lance, le poussant dehors et fermant la porte. - Allez mon vieux, on se bouge. Hors de question que je te laisse t'enfermer. Y a toute une ville qui ne demande qu'à être explorée. J'ai déjà fait quelques pas dans la cage d'escalier, et je me retourne, pointant mon index sur son torse. - Il doit bien rester un peu du mec marrant que j'ai connu à l'intérieur de ce ronchon casanier. dis-je sur un ton espiègle, cherchant une étincelle, n'importe quoi, rien qu'un sourire, un vrai.  
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Gabriel Caulfield
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MessageSujet: Re: i need you you have no idea how much. + ruby   i need you you have no idea how much. + ruby EmptyDim 15 Juin - 19:02


   
don't leave me alone please

Ruby et ses missions. Celle-là elle risque d’avoir du mal à s’en charger. Me faire croire que je ne suis pas un boulet qu’elle a à trainer derrière elle. J’ai toujours été celui qu’on apelle. Celui qui sauve. Celui qui aide. Je HAIS, être celui qu’on aide. J’aurais préféré crever, mais ça, vaut mieux le garder pour moi, sait-on jamais. Le pire c’est que la troupe m’a suivi. Comme si j’avais besoin qu’ils balancent leurs occupations pour moi. Après, pour les autres, je ne dis pas, mais Ruby, même si elle me les brise, j’aime l’avoir dans les parages. Parce que quoi qu’elle fasse, elle n’a pas son pareille pour me foutre des coups de pied au cul. Là où la plupart me prenne pour une statue en sucre. « Faut bien un réaliste dans cette troupe d’optimiste. » Parce qu’aucun ne veut admettre que cet état est peut être permanent, ou que l’opération n’est pas un si grand succès que ça. Toujours été réaliste à vrai dire. Pas dramatique, juste conscient que la petite souris, le père noël et toutes ces conneries n’existent pas et que le jour où on comprend ça, alors on arrête de s’imaginer que les poneys chient arc – en - ciel. Elle pose sa main sur mon bras, je baisse les yeux dessus. Elle a un don pour transmettre sans l’ouvrir. Parce que Ruby ne dit pas ces choses, peut être que je n’suis pas mieux. Aucune idée. Peut-être que j’ai jamais été si bon avec les gens. La preuve, j’ai plus ou moins raté tout avec mon frère. Parfois jme demande si jl’ai pas abandonné en cours de route. Elle me traine presque – inutile de résister c’est le genre à vous choper les pieds et à vous trainer dehors si vous avez la stupidité de refuser – et me fous hors de chez moi. «  Tu as un don pour dorloter les gens Ruby. Tu devrais considérer une carrière dans l’aide. Réflexion faite, je ne leur souhaite pas tant de mal. » Je vais me prendre un de ces regards qui vous donnent envie de sauter d’un pont ou de vous cacher dans un coin avant qu’elle vous étripe. Moï, ce regard, je l’ai toujours trouvé sexy, amusant. Toute façon elle n’a pas beaucoup de crédibilité devant moi. J’ai plus ou moins tout vu d’elle. . On commence à descendre, une fois en bas elle pose son doigt sur mon torse. Je souris. Elle me sort que là-dessous doit bien y avoir un mec marrant, celui qu’elle a connu. « Ouais, il a pris ses valises ya longtemps, si tu le vois, tu lui dis qu’il me manque aussi. » J’attrape son bras, comme on a fait des milliers de fois, et je l’embarque, souriant. Ce sourire, il est juste pour elle, parce que si jme laisse à penser à certaines choses, je risque de l’effacer assez vite. « Où m’emmènes-tu alors ? Jte suis. » J’ai envie de dire tu sautes, je saute. Parce qu’il n’y a jamais eu de romantisme entre nous, mais elle a le don d’insuffler à quiconque son besoin d’aventures. Elle donne envie de foncer, de vivre, elle a toujours eu cet effet sur moi. Et quelque part, je crois, que j’ai toujours eu besoin d’elle. Peut-être pour ça, ou, en général.

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Ruby Barnes
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MessageSujet: Re: i need you you have no idea how much. + ruby   i need you you have no idea how much. + ruby EmptyMar 1 Juil - 11:55

Y a des éclats de rire, rien que des souvenirs joyeux. Y a rien de triste dans nos mémoires communes, seulement la sensation vivace d'avoir été plus que vivants, d'avoir véritablement vécu le temps d'une histoire. Je le regarde, en silence, le temps que toutes les images du passé achèvent de se pavaner dans mes pensées. Dans mes souvenirs, le visage de Gabriel est barré d'un sourire, toujours. Je n'avais gardé que ça, cet air rieur, cette légèreté, ces instants d'éternité qui nous appartenaient. Je gardais de Gabriel tous ces moments de bonheur, l'intensité de nos étreintes, la douceur de ses regards, au fond desquels brillait toujours une lueur éclatante. J'ai beau la chercher, cette lueur, au fond de ses yeux, mais il n'y a plus rien. Quelque chose s'est éteint en lui, comme si l'opération lui avait ôté ses sourires. Comme si le temps avait dévoré l'insouciance qu'il m'inspirait. Je déglutis, triste de l'effet des années, de ce chemin emprunté par son destin, où il s'est égaré au point de ne plus être l'homme qu'il a été. J'étais persuadée que personne ne pouvait vraiment changer, jamais profondément. Gabriel n'est plus le même pourtant, une partie de lui s'est brisée et je doute qu'elle puisse être jamais sauvée. - Ne te moque pas Gabe. dis-je d'un air aussi sérieux que possible. - Tu devrais t'estimer heureux de m'avoir comme guide.   que je lance en levant le menton, affichant une figure fière en un simulacre de condescendance.

Je me réjouis de son sourire. Il en fait naître un sur mes lèvres. Comme un flash, le temps de quelques pas, nous revoilà dans nos vingts ans, bercé par la certitude que rien ne pourrait nous faire mal, gamins jusqu'au bout des ongles tant que nous étions ensemble, malgré que nous avions - chacun de notre côté - été forcé de grandir trop vite. Où l'emmener ? Je n'y avais pas franchement pensé avant de venir. Puis l'idée me frappe. Je hèle un taxi depuis le bord de la chaussée et lance un sourire - du genre qui laisse entrevoir que je suis plutôt fière de moi, un peu effronté. Je l'entraine dans la voiture jaune et indique tout bas notre direction au chauffeur. Mes doigts s'entremêlent naturellement avec ceux de Gabriel, comme ça, comme avant, sans arrière-pensée, parce que c'est un geste instinctif, de ceux qui ont toujours fait partie de nous, de nous deux. - Dis moi franchement, c'est quand la dernière fois que tu t'es vraiment amusé ? Ou que tu as ris, vraiment, même pour un rien ? Mon ton est joueur, je lui lance comme un défi, et le rictus qui borde mes lèvres est emprunt de sous-entendus. - J'ai envie de t'entendre rire. Bien que ma voix soit teintée d'amusement, il y a un profond désir derrière mes mots. Je veux le retrouver, tel qu'il était, je veux qu'il soit heureux. Je le sens, je le sais, qu'il a besoin de ne plus être le grand frère et le mari parfait, il s'est épuisé à jouer ces rôles et il est temps pour lui de s'oublier un peu, pour redevenir entier, pour se reconquérir. Notre transport s'arrête. Une fois à l'extérieur, alors qu'il est encore dos à notre destination, je profite du feu qui nous interdit de traverser la route pour le contempler encore un peu. - Prêt ? Un air malicieux dans l'iris, je le fais se retourner. - Bienvenue à Coney Island.

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MessageSujet: Re: i need you you have no idea how much. + ruby   i need you you have no idea how much. + ruby EmptyMar 1 Juil - 21:14

Le regard de Ruby n’était pas pour me rassurer. On aurait dit qu’elle me reconnaissait plus. Pourtant j’étais toujours plus ou moins le même, en plus mur évidemment. Un peu perdu, plus vieux. Mais bon en tant d’année il était évident que j’avais dû changer. Il fallait bien prendre du plomb dans la cervelle un jour. Tout le monde ne reste pas au même plan comme mon cher frère. Mais Ruby ne vivait que d’aventures. Moi j’avais dû voir la réalité en face plus d’une fois. Je n’étais pas comme elle, du moins pas autant. J’étais spontané et « amusant » mais juste pas aussi insouciant que j’avais u l’être avant d’être un père, un époux, un frère. Mais les responsabilités avaient fini par ne plus être que ça. Des trucs à faire. Le devoir avant le reste. Et sans doute m’étais je perdu dans le cours du temps. Mais son regard donnait plus l’impression que j’avais 60 ans et que j’étais devenu un vieux truc. Je plaisantais sur mon « état » mais je me sentais pas vieux, plus vieux qu’avant peut-être, mais pas encore prête à être enterrée. C’était marrant, parce qu’à peine elle était là, et je repensais à tant de choses, et je réalisais que j’avais encore du temps devant moi. « M’estimer heureux ? Tu ne te rappelles pas de toutes les conneries que tu as pu me faire faire juste pour le « trip ». Tu es une boite à conneries oui ! » Et j’avais une bonne mémoire. Juste pour ne pas être le mec vieux jeu, j’avais fait des tas de trucs qui ne me seraient pas venu à l’idée, pendant que mon frère m’imaginait spotless. C’était drôle à y repenser. Je ne dis pas qu’au final, je ne m’étais jamais amusé, mais d’autres fois, mes parents se demandaient ce qu’elle avait sur moi. Rien. Elle avait juste envie de vivre à fond. Là ou moi c’était les études que je vivais à fond. M’ensevelir sous les corvées, ça je savais faire. Et sans elle, l’université serait bien différente. Voilà qu’elle me traine dans un taxi. Je suis sauvé, elle conduit aussi bien que Ziva dans ncis, alors je préfère autant un taxi. Je l’observe. Elle a la fougue de sa jeunesse. Moi moins. Après tout on a presque dix ans de différence. Ça compte. Mais sa fraicheur, c’est sans doute ce qui a toujours poussé mon esprit à l’écouter, même quand elle disait n’importe quoi pour me faire rire. Les grimaces, les fois où elle était venue faire l’idiote à un de mes matchs. Elle se foutait pas mal du regard des gens. Dans mon monde, il n’y avait que ça. J’étais l’ancre qu’elle cherchait, elle était la bouffée d’oxygène. Jusqu’à ce que sa présence finisse par m’étouffer d’une autre manière. On s’assied dans le véhicule et elle fait ce qui me perturba. Elle prit ma main et lia ses doigts aux miens. Je n’étais plus habitué à son côté tactile. Je retirais ma main, tout en pensant que j’étais peut être trop abrupte. Quand on sort de la voiture je découvre mon pire cauchemar. Ne me dites pas qu’elle veut me faire aller dans ces trucs-là ? « Heu, tu te souviens que j’ai pas le droit à tous ces trucs-là. Donc si tu envisageais les montagnes russes oublie, j’aime assez l’idée de ne pas crever dans l’un de ces trucs. » J’espère juste que ce n’était pas son idée. Elle devait avoir une autre idée en tête. Ou alors ce Gabriel-là lui plaisait pas et elle avait trouvé un moyen de s’en débarrasser.
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